on n’est jamais que chez soi, mais toujours aussi chez l’autre.
aimer l’autre devient un choix quand on s’admet qu’on puisse se comprendre — que à travers de l’autre. pour cela aimer l’autre est aussi une façon de s’aimer quelque part.
l’amour est l’appréciation de la fascination en face de l’autre — la magie, le magnétisme, l’émerveillement.
vivre l’amour c’est aban-donner une partie de soi-même en l’offrant à l’autre comme un cadeau — simultanément faisant de la place pour une partie de l’autre — tout en gardant le respect pour l’autre sur le vue qu’on ne puisse pas le comprendre. l’échange, le partage, l’enthousiasme.
on surf parce qu’on aime — et en jouant avec les éléments (et les copains surfeurs) on peut comprendre l’essence de la condition humaine,
je trouve. (mode explorateur)
bon, petite réflexion matinale perchée — c’est difficile de trouver des mots pour ce sentiment océanique — étant dans le flux toujours — je l’essaie quand même — me retrouvant quelque part dans l’inachevé